je ne pense pas que les visages asiatiques des images érotiques soient sans expression, pas dans les shunga tout au moins. et puis, si les sexes semblent « démesurés », c’est parce qu’ils évoquent les montagnes, les vallées (phallus comme rochers, levres, clitoris comme cours d’eau dont les sécretions ou encore la sueur, le sperme renforcent la métaphore naturelle de l’amour exprimé par une sexualité clairement représentée mais non dénuée de délicatesse. les plus grands artistes (klimt, par exemple) possedaient de telles oeuvres dont les fonctions initiales etaient multiples.
icenigi